Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • LES COUPLES JUBILAIRES A L'HONNEUR A BEAUVECHAIN

    Ce dimanche 28 septembre, la commune de Beauvechain a célébré l’amour et la longévité ! 
    Nous avons eu l'immense plaisir d'honorer les couples qui partagent leur vie depuis 50, 60 et même 65 ans. Un moment convivial rempli d’émotion, de souvenirs et de sourires avec une mention spéciale pour la présidente du CPAS de Beauvechain et son mari pour leur jubilaire.
     Félicitations aux couples présents :
    50 ans d’amour :
    - Vanoverberg Daniel & Stiens Caroll
    - Antoine Jean-Marie & De Riemaecker Jacqueline
    - Demoulin André & Remy Anne
    - Thibaut Georges & Joret Damienne
    - Michotte de Welle Jacques & Van Ausloos Nicole
    - Goossens Michel & Piessevaux Béatrice
    - Terlinden André & De Moffarts Brigitte
    - Lemaire Francis & Noël Monique
    60 ans d’amour :
    - Cordier Christian & Vandekerkhove Leona
    - Ectors Raymond & Pensis Nicole
    65 ans d’amour :
    - Mandy Pal & Van Moerbeke Marie-Paule
    Les couples jubilaires ont été gâtés par des attentions personnalisées et même un mot officiel du Roi et de la Reine, soulignant la beauté et la force de leur engagement à long terme. 
     Certains couples ont même posé devant la magnifique céramique de Max van der Linden, intitulée « Pour le meilleur et pour le pire », symbole fort de leur engagement.
    Merci à toutes et tous pour ce moment chaleureux et inspirant. Que votre amour continue de rayonner encore longtemps !
    Sur la photo le couple Lemaire-Noël. Mme Noël préside le CPAS de Beauvechain 
    Toutes nos félicitations aux couples lauréats 
    (Texte et photo AC Beauvechain) 

  • XIVe FESTIVAL DE MUSIQUE BELGE A JODOIGNE

    Depuis 2011, l'ASBL Le chemin des artistes et le Centre culturel de Jodoigne organisent le Festival International de musique de Jodoigne. Le Centre et l’ASBL sont guidés par leur passion pour la culture et par le désir de la transmettre au plus grand nombre.

    Venez savourer des moments d’émotion musicale et laissez-vous immerger dans la beauté intemporelle de la musique classique lors du weekend des 17, 18 et 19 octobre prochains. La splendide Chapelle Notre-Dame du Marché de Jodoigne résonnera de quatre inoubliables concerts variés.

    Vendredi soir, le 17 octobre à 20h, « Harmonie au féminin » un concert unique, consacré aux compositrices, le temps d’une soirée où la créativité féminine résonne à travers les siècles.

    Samedi soir, le 18 octobre à 20 heures, « Au chœur de la musique » un concert exceptionnel avec le requiem de Gabriel Fauré donné par les chœurs de la Fédération Wallonie-Bruxelles. La divine musique de Mendelssohn et le splendide Notturno de Schubert pour piano et cordes, compléteront le programme.

    Dimanche matin, le 19 octobre à 11 heures 30, « Les nouvelles étoiles » un concert où nous mettons en avant les jeunes musiciens talentueux de la Chapelle musicale Reine Élisabeth.

    Dimanche le 19 octobre à 13 heures, vous partagerez un lunch à l'Hôtel des Libertés, l’occasion d’un repas convivial avec les musiciens.

    Dimanche après-midi, le 19 octobre à 15 heures, « La symbiose » subjuguera les auditeurs de cette 14 e édition du festival de Jodoigne.. Un délicieux concert de musique de chambre où les musiciens vous feront vibrer d'émotions dans les quintettes pour piano et cordes de Max Bruch et Antonin Dvorak, reliés par le joyeux et heureux (Lovisa)trio pour piano et cordes de Jean Sibelius. Le festival aura lieu Vendredi 17 au Dimanche 19 Octobre 2025.

    Le Chemin des Artistes

    Est une ASBL qui soutient et promeut les artistes. Elle organise des manifestations -des étapes sur le chemin- qui leur permette d'offrir leur art au public et en réunit les moyens.

  • MESSE DE RENTREE A BEAUVECHAIN

    Ce dimanche 5 octobre 2025 à 10h, nous vivrons ensemble la messe de rentrée de l’Unité Pastorale de Beauvechain,en l’église Saint-Sulpice de Beauvechain. Ce sera un temps fort de communion fraternelle et d’espérance,marqué par l’accueil officiel de notre nouveau curé de Beauvechain,désormais responsable de toute l’Unité Pastorale :le Père Jean-Claude LOKASO. Que cette célébration soit pour chacun de nousl’occasion de redécouvrir la joie d’appartenirà une même communauté de foi et de mission. Vous êtes tous chaleureusement invités à y participer ! Service de communication UPBeauvechain

  • LA VIE AUX CHAMPS

    La vie aux champs (1945 à 1950)
    En ce jour de la Toussaint 1994, je rentre de ma visite à ma belle-mère, et en l’écoutant rappeler ses souvenirs du Loir-et-Cher, je me suis dit qu’il me fallait prendre des notes, sur le mode de vie, et la maison de mes parents, puisque mon père de me dire qu’ici-bas, mon rôle était de sauver le maximum de souvenirs et d’informations, relatives à ceux qui constituent le mode de vie populaire.
     
    LES ARRIVEES MASSIVES DE TOMBEREAUX
    La voie ferrée du PN 84 marquait la séparation entre la ville et la campagne. Notre maison du PN 84 était située du côté campagne. Nous voyions descendre de la route de Souday ou du pavillon, les tombereaux à usage agricole. Lors des moissons c’était un défilé incessant de tombereaux, venant livrer le grains des moissons : le blé, l’orge ou l’avoine.
    Les tombereaux étaient tractés par des chevaux. Ils bifurquaient vers les silos coopératives, en empruntant une déviation à un carrefour, à moins de cinquante mètres de chez nous.
     
    Les travaux des champs : les labours
    Lorsque je me promenais dans la campagne avec mes soeurs, je pouvais assister aux divers travaux des champs.
    Les labours, c’était un dur travail tant pour le cultivateur que pour le cheval, avec le fermier marchant à coté de son cheval, en tenant les rênes, pour tracer soit des sillons concentriques dans le cas de l’utilisation d’une charrue ordinaire à un seul versoir,
    soit de faire des sillons rectilignes et parallèles, avec une charrue à deux versoirs basculant en fin de sillon, pour repartir dans l’autre sens, et ce type de charrue à deux versoirs basculant s’appelait une charrue brabant.
     
    Le fauchage de l’herbe
    J’assistais à ce travail du fauchage de l’herbe, car pour se rendre à l’école je longeais un pré en bordure de la rivière, où j’allais pêcher les vairons.
    Autrefois le fauchage de l’herbe et des moissons se faisait à la faucille puis à la faux. Mais avec le progrès, la coupe de l’herbe destinée aux foins de se faire avec une barre de coupe, tractée par un cheval, avec le fermier assis sur un siège métallique sans amortisseurs. En effet une barre de coupe c’était une gigantesque tondeuse de coiffeur.
    L’herbe séchait au soleil, puis arrivaient les faneurs qui avec leurs fourches retournaient l’herbe, afin de bien la faire sécher.
     
    Les foins
    Ensuite le fermier venait ratisser toute l’herbe sèche devenue du foin, en utilisant un immense râteau, tracté par un cheval. C’est-à-dire des arceaux métalliques immenses, sous lequel s’accumulait le foin, alors le fermier levait ces arceaux pour laisser derrière lui des tas de foin.
    Puis c’était le ramassage du foin, avec un homme monté à l’intérieur de la charrette, et un autre homme lui transmettant des fourchées de foin sec, qui étaient reparties dans la charrette.
    Lorsque la charrette était pleine de foins, un système de cordage arrimait le foin, qui était transporté à la ferme, pour être mis en énormes tas destinés aux animaux en hiver.
     
    La moisson
    A cette époque il n’existait pas les moissonneuses-batteuses, mais seulement les moissonneuses-lieuses, qui laissaient derrière elles, sur le sol les gerbes de blé.
    Ces gerbes de blé étaient mises en tas, avec les épis en haut tournés vers le soleil, qui allait les sécher puis le ramassage des gerbes de se faire, de la même façon que pour le foin. A la ferme de faire des tas destinés aux travaux de la batterie.
    Une fois que les gerbes étaient rentrées à la ferme. Alors avec mes soeurs nous allions dans les champs, pour glaner les épis de blé restés sur le sol, c’est-à-dire ramasser les épis de blé restés sur le sol. Glaner afin d’améliorer l’ordinaire de nos volailles.
     
    La batterie
    Une fois la moisson terminée, les gerbes étaient transportées à la ferme à l’aide de charrettes. et les gerbes de blé d’être mises en un grand tas, appelées des » maillères » situées un peu à l’écart des bâtiments de la ferme, afin de ménager un grand emplacement où allait se mettre en place la batterie.
    Les travaux de la batterie, c’était une entraide réciproque et une solidarité des paysans.
    Autrefois c’était la locomobile qui était une machine à vapeur, et mobile sur les roues, pour transporter la locomobile de fermes en fermes. Et bien entendu il fallait prévoir les briquettes de charbon, et beaucoup d’eau destinés à fabriquer la vapeur dans la locomobile pour fournir l’énergie motrice.
    Moi j’ai connu une version plus moderne que la locomobile, car l’énergie motrice était fournie par un gros tracteur à essence, qui entraînait un énorme volant, une énorme roue sur laquelle venait prendre place une courroie très longue, qui transmettait l’énergie du mouvement vers la machine de la batterie.
    Le rôle de la batterie était de séparer dans les épis, les grains de blé de l’enveloppe appelée la balle, qui servait aussi à préparer les matelas pour les gens pauvres.
    Le blé de la réserve faite dans la batteuse servait à remplir les sacs, tandis que la balle était propulsée en un grand tas, à cent mètres de là par un puissant ventilateur.
    La batterie c’était l’occasion d’une très grande fête en cette perspective, chaque fermier avait depuis longtemps mis à engraisser le cochon à abattre. En perspective de cette occasion, marquante des travaux agricoles, les tonneaux de cidre étaient mis »en perce ».
    L’ensemble de la machinerie de la batteuse étaient mis à côté du tas de gerbes afin de ne pas perdre de temps. Les gerbes étaient prises sur le tas avec une fourche pour être hissées au sommet de la batteuse à proximité d’un homme qui saisissait la gerbe à bras-le-corps.
    D’un coup adroit et rapide de son couteau, appelé une serpette car une lame du couteau était en forme de serpe, d’un coup rapide de son couteau, l’homme sectionnait la ficelle de la gerbe.
    Puis l’ouvrier avec une fourche enfournait la gerbe dans la gueule béante et avide de la machine, qui avec ses dents mobiles happait les gerbes, tout comme l’homme maladroit qui y serait tombé.
    Avec le progrès, la batteuse faisait automatiquement tout le reste du travail, de séparer la paille, de la balle et de stocker le grain dans la batteuse afin que des hercules recueillent ce grain avec des sacs qui pesaient alors cent kilos.
     
    Les hercules
    Ces hercules avec leurs sacs de cent kilos de blé sur le dos, ces hercules allaient monter à l’échelle du grenier sur une échelle qui ployait, sous la double charge de l’homme et de son sac de blé de cent kilos.
    L’homme entrait alors dans le grenier, et il vidait son sac de blé, sur un tas à même le sol du grenier, afin de le faire sécher au fil des mois car ce blé séché avait alors plus de valeur au silo coopérative.
    Afin que plus tard, le blé étant enfin bien sec les cours en seraient plus élevés, le blé serait saisi dans
    le grenier par une pelle spéciale afin de remplir les sacs.
    Pour cette fois descendre les sacs de blé de cent kilos en utilisant encore l’échelle, et mettre alors les sacs de blé dans une charrette, pour transporter son chargement à la coopérative.
    En Touraine à La Celle-Saint-Avant, pour monter les sacs de blé au grenier, chez mon oncle il y avait par contre un monte-charge, tout comme celui qui est actuellement utilisé par les couvreurs, pour monter les ardoises sur les toits.
    Chez mon oncle le sol du grenier n’était pas horizontal, mais en forme d’entonnoir avec au centre un tuyau, qui descendait à l’étage au dessous.
    Ce tuyau était équipé d’une vanne, et avec un système à collier pour y fixer un sac de cent kilos de blé à remplir.
    Le sac de blé était posé sur une balance, et lorsque le poids était atteint, l’ouvrier fermait la vanne de descente du blé.
     
    La fête à la ferme
    La batterie c’était l’occasion d’une très grande fête. En cette perspective, chaque fermier avait depuis longtemps mis à engraisser le cochon à abattre. A cette occasion, marquante des travaux agricoles, les tonneaux de cidre étaient mis en perce. Et du personnel féminin, souvent les filles du fermier, faisaient le service de ravitailler les hommes assoiffés, travaillant dans la chaleur intense des journées d’été, et la poussière dégagée par la machine à battre.
     
     
    LE VIOLONEUX ET L’ACCORDEONISTE
    A la fin de la batterie c’était la fête populaire. Il y venait un violoneux et un accordéoniste du village le plus proche. Les garçons et les filles des villages voisins, de s’inviter. Ils venaient avec leur vélo. La fête battait son plein, une grande partie de la nuit. C’était pour marquer la fin de la batterie dans cette ferme.
     
    Jacques VIALLA

  • JUSTICE ET CRIMINALITE A JODOIGNE

    Justice et criminalité à Jodoigne de 1588 à 1630 :une justice face aux troubles"

    A la fin du 16e siècle,la ville de Jodoigne située dans le duché de Brabant est en proie à l'instabilité politique.

    Les guerres successives et l'avènement du Protestantisme entraînent une augmentation de la répression judiciaire dans nos régions.Les baillis de Nivelles et de Jodoigne,hauts justiciers,parcourent les campagnes et les villes pour faire apliquer la justice royale.Les comptes de ces officiers de justice renseignent sur nombreux crimes et délits tels que les vols aux marchés,les actes de haute trahison en passant par la sorcellerie et bien d'autres encore...

    Dans ce monde en effervescence,l'application de la justice est en pleine mutation.Il n'est plus le temps de composer avec le crime mais de mettre en scène ce que les historiens appellent le "Théâtre des supplices".

    conférencier:UYTTEBROUCK  Alan

    -Bachelier en histoire,spécialité les Temps Modernes et en paléographie(les écritures anciennes),

    -formé aux facultés universitaires de Namur et à l'Université catholique de Louvain où il obtient son master en 2023 avec une spécialisation dans la recherche historique et avec une série d'options axées sur le droit et la justice aux Temps Modernes.

    Lieu:salle des Calèches du Château Pastur.

    Date :le jeudi 6 novembre 2025,à 20 heures.

    Réservations:miretienne 1370@gmail.com

  • AU POTAGER DU GAILLEROUX A JODOIGNE

    Envie de multiplier des plantes herbacées comestibles et médicinales cet automne avec un maximum de résultat ?
    Rejoignez-nous pour une journée de formation pratique et synthétique le samedi 4 octobre de 9h à 17h au Potager du Gailleroux à Jodoigne !
     Apprenez les techniques de bouturage et divisions
     Une synthèse de tout ce qui peut être bouturé ou divisé à cette période en Belgique vous sera fourni !

     

  • A L'UNITE PASTORALE DE JODOIGNE

    Le mois d’octobre est traditionnellement consacré à la prière du rosaire et il nous offre l’occasion de prier pour les missions. Plusieurs initiatives sont proposées : nous proposons de nous retrouver pour prier le chapelet ensemble à différents moments. Chaque fin de journée à 18h devant le sanctuaire de Marie « Porte Du Ciel », dans la cure de Jodoigne. Le chapelet sera récité à 18h tous les jours, excepté le mardi à 18h à la chapelle à l’arbre avant la messe de 18h30 et le samedi à 15h devant le sanctuaire de la cure de Jodoigne. Que nous soyons 2,4 ou 10 nous prions le Seigneur par l’intercession de Marie. Chaque mardi du mois d’octobre à 18h30, messe à la Chapelle à l’arbre rue de Piétrain, 108 à Jodoigne. À l’occasion de la fête de Notre-Dame du Rosaire, ce dimanche 5 octobre, la messe de 11 heures aura lieu non pas à l’église Saint-Médard, mais bien à la Chapelle Notre-Dame du Rosaire sur la place du marché de Jodoigne. Le chapelet sera également prié avant la messe, de 10h30 à 11h. Quant à la messe de neuf heures, elle aura bien lieu à l’église Saint-Lambert. Photo prise du chemin de Chebais par Jacques Coenen. Merci

    (texte et photo UPJ)