La fin du mois d’août est la saison optimale pour consommer la poire car c’est un fruit riche en eau (80%), d’où une bonne façon de nous hydrater pendant l’été.
La poire est juteuse, douce et goûteuse, spécialement la variété « Limonera »(Guyot), qui est la plus douce et celle qui a le plus de propriétés médicinales et compte plus de mille variétés. En plus, elle mûrit au mois d’août tout comme la Blanquilla (blanquette) ou la Williams.
La poire protège le système cardio-vasculaire et prévient des maladies cardio-vasculaires grâce à sa grande teneur en vitamine B et en acide folique. De plus, c’est une source de fer excellente pour les cellules du sang et est indiquée dans le cas d’anémie. Elle aide également à l’élimination du cholestérol et régule la fonction intestinale.
"Entre la poire et le fromage" Au Moyen Age, la plupart des fruits n'étaient pas servis en dessert comme aujourd'hui. En début de repas, on mangeait même les cerises, les prunes, les pêches, les figues ou le melon (nous avons conservé le melon). En fin de repas, pommes, poires, coings ou nèfles étaient servis. On leur prêtait des vertus digestives.
Pour conclure venait le fromage : Le fromage était censé, lui aussi, faciliter la digestion des précédents aliments. (les Anglais ont gardé cette tradition de servir le fromage en dernier, après les fruits ou les desserts sucrés). L'expression "Entre la poire et le fromage" fait allusion au moment, où repu, on est plus facilement porté sur les confidences. De nos jours, elle a pris le sens moins précis de "entre deux évènements".
Pour conclure venait le fromage : Le fromage était censé, lui aussi, faciliter la digestion des précédents aliments. (les Anglais ont gardé cette tradition de servir le fromage en dernier, après les fruits ou les desserts sucrés). L'expression "Entre la poire et le fromage" fait allusion au moment, où repu, on est plus facilement porté sur les confidences. De nos jours, elle a pris le sens moins précis de "entre deux évènements".
(source Entre Médiéval et Renaissance FB)